mercredi 30 mars 2011

Ces gens connus il y a longtemps, quand nous étions enfants. Il y a belle lurette que je ne les vois plus. Mais elle, si.

Seule, elle exploite les réseaux de nos parents pour se distraire.Du coup, elle ne voit que des gens de 70 ans... Que deviendra-t-elle lorsqu'ils mourront ?

Je devrais m'en moquer... Mais elle a tellement décrié la "famille" - tellement, que de la voir maintenant mettre ses pieds dans leurs pas m'écoeure. Et ce n'est pas comme si elle avait ses amis,s a vie, et qu'elle les voyait à côté, en plus... Non, elle est seule dans son monde, à force d'être une peste, et elle les voit pour se désennuyer.

dimanche 27 mars 2011

Comme elle a raison, comme elle a raison de se réjouir des positions du Pape !

Ça lui en met un petit coup sur la tête, à notre gouvernement en plein grave délire !
C'est vieux, mais ça donne à penser, non ?

vendredi 25 mars 2011

Sarkozy décortique les réseaux libyens

En s'engageant contre Mouammar Kadhafi, Nicolas Sarkozy a (aussi) détruit... un efficace réseau de relations avec le "Guide libyen" et ses proches. Au grand dam des industriels qui traitaient avec lui ! Des notes adressées à l’Elysée, que La Lettre A a consultées, font une description circonstanciée du dispositif. Le numéro deux du régime, le général Mustapha al-Kharroubi, inspecteur général des forces armées et l'un des cinq leaders historiques de la révolution libyenne, en constituait le pivot. Et son fils Moussa s'était imposé comme un intermédiaire incontournable pour des entreprises de l’aéronautique civile et militaire comme ADP, Cessna, Bell et Thales, ainsi que Finmeccanica, Indra, MBDA, Sofema, etc. Enfin, le beau-frère du général gérait les intérêts de la famille depuis Zurich, où il est installé.
Alors que Paris a placé les avoirs libyens sous surveillance depuis le 27 février, ces informations donneront aux autorités françaises des moyens supplémentaires de pression financière, en cas d’enlisement du conflit. Autre retournement de situation : les renseignements dont disposent les intermédiaires financiers qui étaient en relation avec le général Mustapha al-Kharroubi ont surtout servi aux états-majors engagés dans les bombardements aériens contre les forces loyales à Kadhafi. Notamment pour identifier l'organisation de la chaîne de commandement de la défense aérienne libyenne dirigée par l'un des proches du "Guide", le général Chérif Riffi.